Confidences érotiques d'un homme qui s'est fait entreprendre par une femme ronde dominatrice

Je l'ai rencontrée sur le net, elle m'a paru très sympa, ouverte à la discussion mais elle refusait de se montrer en cam. A f o r c e de discuter, j'ai appris quelle faisait un complexe par rapport à son poids. Son côté dominatrice me séduisait, j'ai donc décidé de lui proposer de se rencontrer et là, mes sentiments étaient très partagés lorsque je l'ai vue.

Son visage d'ange, ses yeux rieurs, son côté boute-en-train et son sourire enjôleur me faisaient fondre, mais en même temps, ses rondeurs me gênaient un peu. J'ai toujours évité les femmes rondes parce que je ne le sens pas, pas pour une question d'esthétique, mon dieu qu'est-ce j'étais con et qu'est-ce que j'ai perdu !

Après avoir pris un verre dans une brasserie, j'ai accepté de la suivre chez elle pour en prendre un second. Et là, je me suis fait entreprendre et dévorer tout cru par cette femme très dirigiste. Peut-être est-ce le fait qu'elle joue les dominas qui m'a fait céder ? Elle est rapidement devenue très entreprenante par surprise en passant derrière son canapé en me caressant la poitrine puis, quelques minutes plus tard, en mettant sa main sur mon pantalon. J'étais un peu pommé car c'est la première fois que je me faisais entreprendre par une femme.

Ses rondeurs et sa poitrine très opulente me perturbaient et quand sans aucune gêne elle s'est dévêtue, j'ai compris que j'allais y passer. Incapable de résister face à son regard décidé, je l'ai laissée retirer ma chemise puis me coucher sur son canapé. D'un seul coup, elle a enjambé mon visage en m'offrant une vue imprenable sur son intimité. Sans me laisser le choix, cette intimité s'est carrément écrasée sur mon visage avec un ordre clair : lèche-moi petit soumis.

Comme privé de volonté, je ne faisais rien hormis lécher sa chatte trempée de désir pendant qu'elle dégrafait mon pantalon. Mes mains étaient comme clouées sur le canapé. Julie a commencé à jouer avec mon sexe mou qui restait désespérément mou même si c'était très agréable. Dix minutes plus tard, elle m'a ordonné de fermer les yeux et d'attendre sans bouger, chose que j'ai faite alors que d'habitude je ne suis absolument pas obéissant. Quand elle est revenue et a repris sa position initiale sur mon visage, quelque chose de froid a touché mon corps et m'a fait peur. Dans les secondes qui ont suivi, ma bite est entrée dans un tube, elle était comme aspirée.

Cette pompe (oubliée par son ex) a eu raison de ma soudaine timidité, je me noyais de plaisir dans sa chatte engluée pendant qu'elle s'acharnait à m'aspirer le sexe. Dès qu'elle l'a retirée, avec des intentions fort claires j'ai encore débandé alors que je n'ai jamais eu de problème de ce côté-là. La haine ! Elle s'est donc offert un moment de plaisir sur mon visage en changeant de sens et en m'ordonnant de me branler. Devant mon semblant d'érection, (la haine encore) elle s'est levée et ma offert sa poitrine pour que je m'y caresse. Avec une extrême douceur, elle a pris ma bite entre ses lèvres pour m'offrir la meilleure pipe de ma vie. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle ne s'est pas retirée et m'a reçu dans sa bouche.

Sans me lâcher les couilles, Julie a tiré sa langue pleine de sperme en me jetant le regard du vainqueur. Ce regard magique m'a encore fait fondre, putain que cette fille était belle.

Je ne saurai jamais si elle n'a plus voulu me revoir à cause de mon souci d'érection (momentané) ou si c'est simplement parce qu'elle avait envie de se faire un jeune, mais putain que cette fille était belle.

Julien